Agaricacées : les agarics et psalliotes

Agarics ou psalliotes : presque tous invités à table !

Les agarics figurent, pour une bonne part, dans de nombreuses recettes de cuisine et pour cause : on trouve dans cette famille plusieurs espèces réputées pour leur excellence gustative, dont l'universellement connu "champignon de Paris". A l'inverse, les lépiotes comportent un nombre important d'individus dont il faut se méfier. Certains d'entre eux, telle la "coulemelle" recherchée par les gourmets, font le bonheur des amateurs, alors que d'autres sont d'une toxicité telle qu'ils peuvent parfois mener à la mort ! Une bonne règle de prudence à adopter avec ces espèces : se méfier des chapeaux méchuleux ou écailleux.

Les deux genres, parfois encore groupés dans la même famille, les agaricacées, comptent aujourd'hui une soixantaine de membres répertoriés.

Parmi leurs caractères déterminants, il faut souligner l'existence systématique d'un anneau et l'absence de volve. Les lames sont libres, le pied et le chapeau sont séparables. La distinction des deux genres de la famille (agarics et lépiotes) par le mycologue partira d'un autre caractère : la sporée. Les agarics ont des spores brunes ou noires alors que les lépiotes produisent des spores blanches.

Vous trouverez dans ce Mémento, par ordre alphabétique :



Agaric à grandes spores Agaric améthyste Agaric auguste Agaric bulbeux Agaric champêtre Agaric des bois Agaric des forêts Agaric des jachères Agaric des pelouses Agaric des prés salés Agaric des robiniers Agaric éminent Agaric d'Essette Agaric guêtré Agaric jaunissant Agaric jaunissant var. gris Agaric macrocarpe Agaric méléagre Agaric méléagre var. couleur de terre Agaric porphyre Agaric variable Champignon de Paris

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